Faits saillants de l’enquête auprès des membres de 2023

Faits saillants de l’enquête auprès des membres de 2023

Tous les deux ans, Coopération Canada partage son enquête sur les membres avec ses membres afin d’évaluer leur satisfaction et de s’assurer que nous restons pertinents et attentifs à leurs besoins. Cette année, Coopération Canada a mené son enquête de satisfaction auprès de ses membres d’octobre à décembre 2023.

 

51 des 102 membres ont répondu à l’enquête, ce qui représente un taux de réponse de 50 %.

Le sondage de 2023 a permis à des personnes de tous les organismes membres de répondre ! Soixante-quinze (75) personnes issues de 51 organisations membres ont répondu à l’enquête. Parmi les répondant-e-s, une grande proportion s’est identifiée comme chef-fe de la direction ou directeur-trice exécutif-ive (44 %), et un mélange de personnes travaillant dans des domaines tels que la programmation, la communication et la politique.

Les objectifs étaient les suivants :
• Aligner le travail de Coopération Canada sur les priorités des membres, dans toutes les équipes et initiatives ;
• Informer la planification annuelle de Coopération Canada avec l’apport direct des membres ; et
• Disposer d’un cadre standard pour mesurer la satisfaction des membres au fil du temps.

 

Nos sept conclusions

1. Nos membres sont massivement satisfait-e-s de leur adhésion à Coopération Canada.

95 % des répondants sont satisfaits de leur adhésion à Coopération Canada, et autant recommanderaient aux non-membres de se joindre à nous.

 

2. Nos membres sont satisfait-e-s de la façon dont nous menons à bien les relations gouvernementales, les initiatives liées aux politiques, la défense des intérêts et l’animation et l’engagement de la communauté.

La majorité des répondant-e-s sont satisfait-e-s des efforts de Coopération Canada en matière de relations gouvernementales, plus particulièrement en ce qui a trait à la défense des intérêts (86 %), à l’engagement d’Affaires mondiales Canada (84 %) et à l’analyse et à la recherche en matière de politiques (83 %). En ce qui concerne l’animation de la communauté, les répondant-e-s ont montré 84% de satisfaction par rapport aux groupes de travail, aux communications avec les membres et au portail des membres. Quatre-vingt-cinq pour cent (85 %) des membres sont satisfait-e-s de nos réunions et événements réguliers. Nous pouvons encore nous améliorer dans tous ces domaines, les membres ayant déclaré que nos grands événements pourraient bénéficier d’une plus grande participation des membres et que les efforts politiques futurs pourraient être mieux présentés avec des résultats de recherche plus courts et orientés vers l’action, sur lesquels les membres peuvent s’engager.

 

3. Nos priorités thématiques (promouvoir le leadership mondial du Canada, déplacer le pouvoir, protéger les droits de la personne et l’espace civique, et soutenir la résilience organisationnelle) continuent de correspondre à nos membres et à leurs priorités.

Les membres sont satisfait-e-s des priorités thématiques qui guident le travail de Coopération Canada dans l’ensemble de l’organisation. L’accent mis sur la coopération internationale et le leadership humanitaire du Canada est considéré comme la plus grande priorité de notre organisation par celles et ceux qui ont répondu au sondage. Les initiatives liées au déplacement du pouvoir, telles que la localisation et la lutte contre le racisme, ainsi que nos efforts en matière de droits de la personne et d’espace civique, bénéficient également d’un fort soutien. En outre, les membres reconnaissent que la transformation organisationnelle est essentielle pour favoriser la confiance et la résilience au sein du secteur.

 

4. Nous communiquons beaucoup, et les membres n’arrivent pas à suivre !

Bien que 82% des répondant-e-s considèrent que le travail de Coopération Canada est important ou essentiel pour le travail de leur propre organisation, certain-e-s ont de la difficulté à se connecter à notre travail en raison de l’étendue et de la profondeur du contenu. Les membres recommandent à Coopération Canada d’améliorer les moyens de communication (comme notre portail) et d’adopter une approche plus ciblée de la diffusion afin de s’assurer que les bonnes personnes ont accès à la bonne information.

 

5. Le paysage canadien est en train de changer et les membres veulent être soutenu-e-s.

Alors que le secteur s’efforce d’adopter une approche plus décolonisée et localisée de la coopération internationale, il est également confronté à un paysage changeant au Canada, lié à un changement potentiel de gouvernement, à la diminution de l’APD et à la prochaine présidence du G7 par le Canada en 2025. Dans ce contexte, les membres souhaitent que Coopération Canada joue un rôle en soutenant les efforts visant à garantir que les futures politiques et pratiques gouvernementales s’alignent sur les tendances mondiales et soutiennent la société civile. Ils/Elles souhaitent également être soutenu-e-s pour se préparer et naviguer dans un avenir incertain.

 

6. Nos groupes de travail sont importants et nous pouvons faire plus pour les soutenir.

En tant qu’espace utile de coordination, d’apprentissage par les pairs et de leadership éclairé, nos groupes de travail sont appréciés mais pourraient être mieux soutenus. Outre les problèmes techniques liés au portail et aux notifications de communication connexes (que nous nous efforçons de résoudre avec un nouveau système !), le travail de base des groupes de travail pourrait également être amélioré grâce à davantage de dialogue, d’idées et de collaboration. Dans l’ensemble, bien que les membres apprécient le potentiel des groupes de travail, ils cherchent à améliorer l’engagement, l’inclusivité et l’accessibilité de la participation afin de maximiser leur efficacité.

 

7. La relation de Coopération Canada avec Affaires mondiales Canada reste cruciale pour faire avancer les priorités du secteur.

Le partenariat avec Affaires mondiales Canada (AMC) est au cœur du travail d’un grand nombre de nos membres. L’enquête a montré que les membres apprécient l’engagement de Coopération Canada avec AMC et qu’ils/elles en veulent plus ! Les membres ont particulièrement souligné l’importance de maintenir des initiatives conjointes de plaidoyer pour la transformation, en particulier dans des domaines tels que les modèles de financement, l’Initiative de transformation des subventions et des contributions, et les cadres de responsabilisation d’AMC. Tout en reconnaissant l’importance de l’engagement avec AMC, les répondant-e-s aspirent de plus en plus à aligner les priorités et la défense des intérêts de Coopération Canada sur des perspectives mondiales plus larges, au-delà du seul gouvernement du Canada.

 

Nous sommes déterminé-e-s à améliorer la communication, l’engagement et l’interaction avec nos membres et nos groupes de travail, en tirant parti des commentaires fournis par l’enquête pour guider nos efforts. Le soutien continu des membres de Coopération Canada est inestimable alors que nous travaillons à un monde plus juste, plus sûr et plus durable.

Réactions au budget 2024

Réactions au budget 2024

Quelle est notre réponse générale ? 

Le Budget fédéral canadien 2024 a été publié le 16 avril 2024. Depuis des mois, le secteur canadien de la coopération internationale travaille ensemble pour défendre collectivement de nouveaux engagements en matière d’aide internationale dans le budget 2024, notamment par le biais de notre lettre ouverte au premier ministre Trudeau, de notre plaidoyer sur la Colline du Parlement pendant la Semaine du développement international 2024 et de notre soumission au budget 2024.  Dans l’ensemble, le Budget 2024 est une bonne nouvelle pour le leadership canadien en matière de coopération internationale. Le budget comprend 350 millions de dollars de financement nouveau et supplémentaire pour l’aide humanitaire sur deux ans (150 millions de dollars en 2024-25 et 200 millions de dollars en 2025-26). À l’heure où les besoins humanitaires augmentent dans le monde entier, où des décennies de progrès en matière de développement sont menacées et où d’autres pays donateurs réduisent leur aide, cet afflux de nouveaux fonds est le bienvenu.  En partenariat avec CanSFE, Au-delà de nos frontières et d’autres coalitions et organisations, nous avons publié une déclaration commune en réaction au budget. Nous remercions sincèrement plus de 100 organisations, parmi nos membres et au-delà, qui ont signé notre déclaration conjointe. Nous avons également été heureux de constater une certaine reprise dans les médias, notamment par CBC, CTV et La Presse. 

Que contient le budget en matière d’aide internationale ?  

Bien que le budget n’inclue pas toutes les demandes que nous avons formulées dans le cadre de notre plaidoyer, nous reconnaissons que le contexte économique national du Canada est actuellement difficile et nous avons accueilli favorablement l’engagement du gouvernement à s’impliquer sur la scène internationale. Nous espérons que ces 350 millions de dollars de fonds nouveaux et supplémentaires pour l’aide humanitaire aideront les organisations canadiennes à travailler avec leurs partenaires dans certaines des crises humanitaires les plus difficiles dans le monde, notamment au Moyen-Orient, en Haïti, au Soudan, au Yémen et au Sahel.  Parmi les autres composantes de financement pertinentes pour la coopération internationale, citons : 

  • 216,7 millions de dollars sur cinq ans, à compter de 2025-26, pour la part du Canada dans l’augmentation générale du capital de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) pour la reconstruction de l’Ukraine. 
  • 159,1 millions de dollars sur cinq ans, à compter de 2024-25, avec un amortissement restant de 5,9 millions de dollars, pour soutenir la transformation d’Affaires mondiales Canada. 
  • Un réengagement de 10 millions de dollars par an d’ici 2025 pour soutenir la programmation de l’aide internationale en faveur des droits des LGBTIQ dans le monde. 
  • Une somme estimée à 146,3 millions de dollars sur cinq ans, à compter de 2027-28, pour acheter les actions attribuées au Canada dans IDB Invest, qui catalysera le financement du secteur privé pour soutenir les opportunités économiques pour les femmes en Amérique latine et dans les Caraïbes. 
  • 81 millions de dollars pour 2024-25 afin de préparer la présidence canadienne du G7 en 2025 (dont une partie, nous l’espérons, pourra soutenir l’engagement avec la société civile sur les priorités de la présidence canadienne). 

En ce qui concerne les annonces non monétaires, le budget contient des références à l’importance de moderniser et d’investir dans les institutions financières internationales, y compris l’introduction d’amendements législatifs au Canada pour mieux permettre au capital hybride et à d’autres formes de financement innovant d’être utilisés pour soutenir les besoins de financement des pays en voie de développement. Il mentionne également une nouvelle phase du Programme d’innovation en matière d’aide internationale (PIAI), qui se concentre sur les petites transactions à fort impact. Nous sommes impatient-e-s de travailler avec le gouvernement sur la conception et la mise en œuvre de ce programme. 

 

Qu’est-ce qui manquait dans le budget 2024 ? 

La transparence budgétaire !  Alors que les dernières années ont vu la présentation d’estimations approximatives du montant total de l’enveloppe d’aide internationale (EAI), le document budgétaire de cette année ne tente même pas de fournir un chiffre. En l’absence d’informations sur les tendances de la base budgétaire, sur les ventilations sectorielles ou par type de dépenses, ou sur les plans de dépenses prévisionnels pluriannuels, il est difficile de savoir si le budget de l’aide augmente ou diminue, et ce qui attend le budget canadien de l’aide internationale. Nous avons dû deviner le budget total de l’EAI pour cette année. Il a été estimé à environ 7,2 milliards de dollars par an.  Si tel est le cas, cela signifierait que le budget de l’EAI a augmenté d’environ 5 % par rapport aux 6,89 milliards de dollars de l’année dernière.  Nous avons également plaidé pour que l’aide internationale à l’Ukraine s’ajoute à l’aide stable ou croissante au reste du monde, et pour suivre les investissements d’aide internationale qui répondent à la guerre en Ukraine en lançant un outil de suivi de l’aide à l’Ukraine ou à l’Europe de l’Est. Aucun engagement n’a été pris à cet égard.  Enfin, alors que ce budget mettait l’accent sur l’aide humanitaire vitale qui fait cruellement défaut en ce moment, le budget 2024 ne prévoyait aucune augmentation de l’aide au développement à plus long terme, des investissements dans des programmes et des partenariats qui soutiennent un monde plus sûr, plus juste et plus durable. 

 

Envisager 2025 ! 

À l’approche de la présidence canadienne du G7 en 2025, nous attendons du gouvernement qu’il travaille avec d’autres pour tirer parti d’engagements mondiaux audacieux à l’appui de la coopération internationale. Au terme d’un cycle budgétaire relativement positif, au cours duquel nous avons obtenu de nouveaux fonds pour l’aide internationale dans un contexte budgétaire difficile, il sera très bientôt temps de présenter nos priorités pour le budget 2025 et la présidence canadienne du G7. Coopération Canada se réjouit de travailler avec ses membres sur cet important plaidoyer ! 

Le secteur canadien de l’aide salue l’augmentation du budget consacré aux besoins humanitaires

Le secteur canadien de l’aide salue l’augmentation du budget consacré aux besoins humanitaires

Ottawa, 16 avril 2024 – Une coalition d’organisations canadiennes de coopération internationale salue le nouveau financement des programmes humanitaires annoncé dans le cadre du budget fédéral 2024. La coalition reconnaît que ce nouvel investissement survient dans un contexte économique complexe pour le Canada et souligne la nécessité pour le gouvernement de continuer à jouer son rôle sur la scène mondiale. 

Avec l’annonce faite aujourd’hui d’une aide humanitaire supplémentaire de 350 millions de dollars sur deux ans, le gouvernement prend une mesure importante pour répondre à certains des besoins mondiaux les plus urgents. Ce financement supplémentaire de l’enveloppe d’aide internationale (EAI) pourrait permettre de répondre à certaines des crises les plus dévastatrices de la planète, notamment la guerre au Moyen-Orient, le chaos interne en Haïti, les troubles civils au Soudan et les crises au Yémen et au Sahel. 

Alors que la communauté internationale est confrontée à des défis sans précédent, le secteur canadien de l’aide reste fermement engagé à soulager les souffrances et à faire avancer les choses dans le monde entier. La coalition, menée par la campagne Au-delà de nos frontières, Coopération Canada, le Partenariat canadien pour la santé des femmes et des enfants (CanSFE) et d’autres groupes de pression, s’engage à continuer de plaider en faveur d’un engagement solide en matière d’aide internationale, alors que le Canada doit accueillir les pays du Groupe des Sept (G7) l’année prochaine. Nous encourageons le gouvernement à profiter de la prochaine présidence du G7 pour démontrer son leadership en engageant les autres nations à inverser le déclin mondial de l’aide publique au développement. 

« Ce budget s’attaque à l’une des situations les plus urgentes à l’heure actuelle dans le monde : la situation désespérée dans laquelle se trouvent des millions de personnes victimes de crises humanitaires et de conflits. De Gaza au Soudan, d’Haïti au Yémen, les besoins humanitaires augmentent et des décennies de progrès en matière de développement sont dangereusement menacées. Nous nous félicitons de cet investissement pour l’aide humanitaire et attendons avec impatience d’autres investissements essentiels dans l’aide au développement à long terme », a déclaré Kate Higgins, directrice générale de Coopération Canada, qui représente plus de 100 organisations canadiennes de développement international et d’aide humanitaire. « Conformément à la Politique féministe d’aide internationale du Canada, cet investissement soutiendra des programmes qui sauvent des vies dans des communautés en crise, tout en soutenant la sécurité mondiale et la prospérité du Canada. » 

Le secteur de la coopération internationale se réjouit également que le budget 2024 prenne de nouveaux engagements pour renforcer l’engagement du Canada auprès des institutions financières internationales afin de les rendre plus réactives face aux nouvelles menaces mondiales. Le budget fait également état d’initiatives futures qui chercheront à catalyser les sources de financement privées et philanthropiques à l’appui de l’aide internationale. 

« Les Canadiennes et les Canadiens attendent de leur gouvernement qu’il investisse dans la sécurité à long terme du pays. Dans un ordre mondial impacté par les conflits et les crises, le Canada est appelé à trouver des voies globales vers la paix. Nous célébrons aujourd’hui l’investissement dans l’aide humanitaire qui permettra d’atteindre et de soutenir les femmes et les enfants dans les moments les plus vulnérables grâce à des interventions à fort impact qui sauveront des vies et aideront les enfants à atteindre leur plein potentiel », a déclaré Julia Anderson, directrice générale du Partenariat canadien pour la santé des femmes et des enfants. 

 

À propos de Coopération Canada 

Since 1968, Cooperation Canada has brought together Canadian civil society organizations working in international development and humanitarian assistance. With over 100 members, we work with partners in Canada and around the world to build a fairer, safer and more sustainable world. 

À propos d’Au-delà de nos frontières 

Au-delà de nos frontières est une campagne convaincante soutenue par des ONG qui vise à pousser le gouvernement canadien vers une augmentation significative du financement de l’aide étrangère. Avec un engagement continu depuis 2018, Au-delà de nos frontières s’unit à un collectif d’ONG et d’institutions philanthropiques pour plaider en faveur d’une contribution accrue du gouvernement à l’aide internationale, en veillant à ce qu’il s’acquitte de sa responsabilité et augmente les niveaux de financement actuels. 

À propos du Partenariat canadien pour la santé des femmes et des enfants (CanSFE) 

Le Partenariat canadien pour la santé des femmes et des enfants (CanSFE) regroupe plus de 100 organisations non gouvernementales, organisations de la société civile, établissements universitaires, associations de professionnel·les de la santé et entreprises privées qui s’engagent à faire avancer la santé et les droits des femmes, des enfants et des adolescent·es dans le monde. 

  

Informations sur les contacts : 

Louis Belanger – Au-delà de nos frontières 613-265-4417 / [email protected]  

Gabriel Karasz-Perriau – Coopération Canada 514-945-0309 / [email protected] 

Megan Aikens – CanSFE 613-504-2862 / [email protected] 

  

Note : La coalition d’agences d’aide représente un large groupe d’organisations travaillant dans les domaines du plaidoyer, de l’éducation, du développement économique, de l’égalité des genres et des droits des femmes, de la santé des femmes et des enfants, des moyens de subsistance durables, de la sécurité alimentaire et de l’eau, de la nutrition, des droits dela personne et de la bonne gouvernance. 

Le groupe inclut : 

Cooperation Canada / Coopération Canada
Canadian Partnership for Women and Children’s Health (CanWaCH) / Le Partenariat canadien pour la santé des femmes et des enfants (CanSFE)
Bigger than our Borders / Au-delà de nos frontières
Acted Canada
Action Against Hunger Canada
Action Canada for Sexual Health and Rights
ADRA Canada
Alberta Council for Global Cooperation
Association québécoise des organismes de coopération international (AQOCI)
Atlantic Council for International Cooperation
CAMFED Canada
Canadian Association for Global Health
Canada International Scientific Exchange Program (CISEPO)
Canadian Association of Midwives (CAM/ACSF)
Canadian Center for Women Empowerment
Canadian Feed The Children
Canadian Foodgrains Bank
Canadian Lutheran World Relief
Canadian Physicians for Aid and Relief (CPAR)
Canadian Network for Neglected Tropical Diseases
CARE Canada
CAWST
CDF Canada
Centre D’Étude et de Coopération Internationale (CECI)
Change for Children
ChildCare International
Children Believe
Climate Action Network Canada (CAN-Rac)
Coady Institute
CODE
Collaboration Santé Internationale
Compassion Canada
Crossroads International
Cuso International
Development and Peace ― Caritas Canada
Développement international Desjardins (DID)
Effect Hope (The Leprosy Mission Canada)
End Female Genital Mutilation (FGM) Canada Network
Equality Fund
Equitas-International Centre for Human Rights Education
Farm Radio International
Food for the Hungry Canada
Global Citizen
Grandmothers Advocacy Network
Habitat for Humanity Canada
Health Partners International Canada
HelpAge Canada
Hope and Healing International
HOPE International Development Agency
Humanitarian Coalition
Humanity & Inclusion Canada
Hungry For Life International
International Council of AIDS Service Organizations (ICASO)
International Development and Relief Foundation (IDRF)
International Development Enterprises (iDE) Canada
Islamic Relief Canada
Jane Goodall Institute of Canada
Journalists for Human Rights (JHR)
KAIROS: Canadian Ecumenical Justice Initiatives
Kentro Christian Network
Lawyers Without Borders Canada / Avocats sans frontières Canada
Manitoba Council for International Cooperation
Maternal and Infant Health Canada
Maternity Today
Médecins du Monde Canada
Mennonite Central Committee Canada
Mennonite Economic Development Associates (MEDA)
Mission inclusion
Never Again International – Canada
Northern Council for Global Cooperation
Nutrition International
ONE Canada
One Drop Foundation
Ontario Council for International Cooperation
Orbis Canada
Oxfam Canada
Oxfam-Québec
Partners In Health Canada
Plan International Canada
Presbyterian World Service & Development
Results Canada
Right To Play International
Salanga
Santé Monde
Saskatchewan Council for International Cooperation
Save the Children Canada
SeedChange
Seva Canada
SOCODEVI
SOS Children’s Villages Canada
Trade Facilitation Office (TFO) Canada
UPA Développement international
Veterinarians without Borders Canada
VIDEA
WaterAid Canada
The Primate’s World Relief and Development Fund (PWRDF)
The Wellspring Foundation for Education
Women’s Global Health Innovations – Bfree Cup
World Accord International Development Agency
World Renew
World University Service of Canada (WUSC)
World Vision Canada
ZMQ Global

L’équité, la diversité, l’inclusion, et la justice –  Stratégie et plan d’action pour l’antiracisme

L’équité, la diversité, l’inclusion, et la justice – Stratégie et plan d’action pour l’antiracisme

La nouvelle stratégie et le plan d’action de Coopération Canada en matière d’antiracisme, d’équité, de diversité, d’inclusion et de justice (AEDIJ) sont maintenant disponibles.

La Stratégie et le plan d’action AEDIJ guideront le parcours de l’organisation, y compris les principes qui guident notre travail, nos objectifs clés et les mesures concrètes que nous prendrons dans les opérations et l’administration, les communications et la mise en œuvre de programmes et d’activités.

Huitième édition de Progression de la mise en œuvre des ODD à l’échelle nationale

Huitième édition de Progression de la mise en œuvre des ODD à l’échelle nationale

Progression de la mise en œuvre des ODD à l’échelle nationale est une analyse indépendante des examens nationaux volontaires (ENV) présentés chaque année au Forum politique de haut niveau (FPHN) de l’ONU. Elle est élaborée par un groupe d’organisations de la société civile, dont Coopération Canada, qui travaillent ensemble pour faire avancer les Objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU.

Maintenant dans sa huitième édition, Progresser dans la mise en œuvre nationale des ODD vise à fournir des aperçus et des recommandations utiles sur les rapports VNR présentés au HLPF, afin d’éclairer les discussions sur la réalisation des ODD et d’aider à guider l’amélioration de la mise en œuvre et des rapports sur l’Agenda 2030.

 

Principales idées 2023

1.  De nombreux pays continuent de faire face à des défis bien ancrés en matière de participation civique, en particulier les groupes marginalisés. Indépendamment du contexte politique, tous les pays et régions peuvent faire davantage pour renforcer la transparence, la responsabilité et l’inclusivité dans leurs cadres politiques de l’Agenda 2030 afin de s’assurer que diverses voix sont entendues et intégrées dans les efforts visant à atteindre les ODD.

 

2. Tout en reconnaissant l’importance de la cohérence des politiques pour le développement durable, aucun pays ne fournit une évaluation complète des progrès accomplis dans les huit domaines visés par l’indicateur composite des ODD relatif à la cohérence des politiques. De nombreux pays soulignent le rôle de l’action contre le changement climatique en tant que lien central entre les secteurs et les échelles, ce qui offre un point d’entrée potentiel pour la cohérence des politiques dans les actions des ODD, du niveau national au niveau local.

 

3. Si certains pays ont progressé dans la collecte de données désagrégées, aucun d’entre eux ne dispose d’une image complète de ceux qui sont laissés pour compte ou qui risquent le plus d’être distancés dans les efforts déployés pour atteindre les ODD. La plupart des pays qui présentent des rapports doivent encore améliorer considérablement la collecte de données ventilées, notamment sur le genre, la pauvreté multidimensionnelle, les inégalités nationales et les groupes vulnérables ou exclus spécifiques tels que les personnes handicapées, les peuples autochtones, les migrants, les minorités ethniques et les diverses identités de genre.

 

Lire la huitième édition de Progression de la mise en œuvre des ODD à l’échelle nationale.

Rapport de réflexion de l’Initiative futurs 2023

Rapport de réflexion de l’Initiative futurs 2023

Un an s’est écoulé depuis que Coopération Canada s’est lancé dans son tout premier projet de prospective stratégique, l’Initiative futurs. Depuis lors, des progrès significatifs ont été réalisés, et dans ce rapport, nous réfléchissons à notre parcours en mettant en évidence nos avancées à ce jour, les idées glanées en employant la prospective stratégique, et les méthodologies utilisées pour étudier le paysage mondial et identifier les tendances émergentes, les signaux et les moteurs de changement au sein du secteur de la coopération internationale. Le rapport souligne le rôle indispensable de la prospective pour naviguer dans les complexités du secteur du développement international. Nous espérons que ce rapport de réflexion ne se contente pas d’offrir des informations précieuses, mais qu’il serve également de guide aux organisations qui se lancent dans leurs propres projets de prospective.