MHN 2025 – Entretien avec Bernabe Yameogo

MHN 2025 – Entretien avec Bernabe Yameogo

Pour la deuxième année, Coopération Canada célèbre le Mois de l’histoire des Noirs en mettant en lumière les voix et les contributions des leaders noirs de la coopération internationale canadienne. Dans le cadre de cette campagne numérique, nous dressons le profil des artisans du changement, des innovateurs et des perturbateurs qui façonnent le secteur, en partageant leurs réalisations, leurs défis et leurs perspectives. En amplifiant ces histoires, nous visons à favoriser une plus grande reconnaissance du leadership noir et à inspirer un dialogue significatif sur l’équité et l’inclusion dans la coopération internationale. Rejoignez-nous pour reconnaître et honorer ces incroyables leaders tout au long du mois de février !

Cette semaine, nous vous invitons à rencontrer Bernabe Yameogo, consultant indépendant.

Pourquoi avez-vous décidé de travailler dans la coopération internationale et quels ont été les points forts de votre carrière ?

En tant que médecin à l’hôpital régional du Burkina Faso, je faisais partie de l’équipe de gestion du district sanitaire, ce qui nous permettait de rencontrer les communautés pour discuter de leurs problèmes de santé et de la manière dont elles pouvaient participer à la recherche de solutions. J’ai réalisé à quel point il était important de soutenir les communautés dans la lutte mondiale contre la pauvreté, afin que leur état de santé puisse s’améliorer. C’est ainsi qu’est né mon intérêt pour le travail de coopération internationale.

Au cours de ma carrière, j’ai travaillé à différents niveaux et j’ai contribué au développement de la participation communautaire dans les programmes de santé en Afrique de l’Ouest. Au Canada, j’ai pu positionner Plan International Canada en tant que leader de la fédération dans l’acquisition et la mise en œuvre de programmes de haute qualité du Fonds mondial de lutte contre le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme en Afrique et en Amérique latine, en mettant l’accent sur l’intégration de la dimension de genre dans les programmes de santé. J’ai également travaillé avec la Coalition canadienne pour m’assurer que le gouvernement continue à financer de manière appropriée le Fonds mondial pendant ses trois années de reconstitution.

Quelles expériences ont influencé votre carrière en tant que personne noire dans le secteur de la coopération internationale ?

De nombreux professionnel-le-s noir-e-s de la coopération internationale se retrouvent dans des espaces où ils/elles sont sous-représenté-e-s, en particulier dans les rôles de direction. La bonne nouvelle est que de nombreuses organisations mettent en œuvre une politique de diversité, d’équité et d’inclusion, ce qui a eu une grande influence sur la carrière des personnes noires dans la coopération internationale. L’accès au réseautage et au mentorat a été crucial pour la réussite de ma carrière.

Quels sont vos espoirs pour l’avenir et quels conseils donneriez-vous à celles et ceux qui souhaitent travailler dans la coopération internationale ?

Nous avions une bonne connaissance des problèmes de la coopération internationale qui deviennent de plus en plus complexes dans un contexte économique difficile, mais nous avions espoir dans la coordination des actions et les approches innovantes pour résoudre les problèmes de développement. Nous devrions nous éloigner des modèles d’aide axés sur la dépendance pour donner aux communautés les moyens de conduire leur propre développement.

Pour celles et ceux qui souhaitent s’engager dans la coopération internationale, il est nécessaire de prendre en compte la consultation afin de développer des projets qui répondent véritablement aux besoins des communautés. Ils/Elles doivent également garder à l’esprit que le travail dans la coopération internationale s’accompagne de défis, de bureaucratie, de changements politiques et parfois de lenteur. La persévérance est cruciale.

MHN 2025 – Entretien avec Isaac Bayor

MHN 2025 – Entretien avec Isaac Bayor

Pour la deuxième année, Coopération Canada célèbre le Mois de l’histoire des Noirs en mettant en lumière les voix et les contributions des leaders noirs de la coopération internationale canadienne. Dans le cadre de cette campagne numérique, nous dressons le profil des artisans du changement, des innovateurs et des perturbateurs qui façonnent le secteur, en partageant leurs réalisations, leurs défis et leurs perspectives. En amplifiant ces histoires, nous visons à favoriser une plus grande reconnaissance du leadership noir et à inspirer un dialogue significatif sur l’équité et l’inclusion dans la coopération internationale. Rejoignez-nous pour reconnaître et honorer ces incroyables leaders tout au long du mois de février !

Cette semaine, nous vous invitons à rencontrer Isaac Bayor, analyste politique principal au Canadian Lutheran World Relief (CLWR).

Pourquoi avez-vous décidé de travailler dans la coopération internationale et quels ont été les points forts de votre carrière ? 

Le monde de la coopération internationale est complexe, mais il s’agit avant tout de rassembler des personnes au-delà des frontières pour créer un changement significatif. Comme l’a dit un jour Desmond Tutu, « Faites votre part du bien là où vous êtes ; ce sont ces petites actions de bien qui, mises bout à bout, bouleversent le monde ». Cette conviction est au cœur de mon engagement dans ce domaine, sachant que même les petits actes de gentillesse peuvent conduire à une transformation durable. 

L’un des moments forts de ma carrière a été de diriger le conseil d’administration de l’Africa Canada Policy Innovation Lab, une petite organisation à but non lucratif, mais très influente, afin de redéfinir son orientation stratégique. Cette expérience m’a permis de mettre à profit mon expérience de la coopération internationale pour promouvoir un nouveau discours, fondé sur le respect mutuel et les partenariats innovants entre l’Afrique et le Canada. L’objectif était de passer d’un modèle d’aide descendant à un modèle de croissance partagée, en tirant parti et en renforçant les avantages comparatifs des deux régions pour relever les défis mondiaux urgents communs et promouvoir la prospérité mutuelle. 

Quelles expériences ont influencé votre carrière en tant que personne noire dans le secteur de la coopération internationale ? 

Comme beaucoup d’immigrant-e-s au Canada, j’ai plusieurs casquettes, et le croisement de mes identités en tant que personne noire et immigrante a profondément façonné ma carrière. Je me retrouve souvent à faire le pont entre différents mondes, à naviguer dans les espaces politiques tout en apportant les perspectives de ma communauté. Cette double perspective enrichit mon approche de l’élaboration des politiques, mais nécessite également une réflexion constante sur ma position. Elle m’a rendu très consciente des dynamiques de pouvoir et des contextes historiques qui influencent encore le secteur de la coopération internationale. Cette prise de conscience m’amène à me poser quotidiennement une question cruciale : comment dépasser l’héritage de l’aide, enraciné dans la hiérarchie et la dépendance, et transformer la coopération internationale en un véritable partenariat pour une croissance et une prospérité partagées ? 

Quels sont vos espoirs pour l’avenir et quels conseils donneriez-vous à celles et ceux qui souhaitent travailler dans la coopération internationale ? 

Je rêve d’un avenir où la coopération internationale deviendrait un espace dynamique d’innovation, où des partenariats créatifs favoriseraient la prospérité mutuelle entre les régions. À celles et ceux qui aspirent à entrer dans ce domaine, je conseille d’adopter une pensée audacieuse, de faire preuve d’adaptabilité et d’ouverture d’esprit. Notre secteur est confronté à un paysage géopolitique en rapide évolution et à des défis mondiaux émergents qui exigent des idées nouvelles. Les approches conventionnelles qui nous ont servi par le passé ne suffisent plus. 

Isaac Bayor

Isaac Bayor

MHN 2025 – Entretien avec Isaac Bayor

MHN 2025 – Entretien avec Salamatu Mohammed

Pour la deuxième année, Coopération Canada célèbre le Mois de l’histoire des Noirs en mettant en lumière les voix et les contributions des leaders noirs de la coopération internationale canadienne. Dans le cadre de cette campagne numérique, nous dressons le profil des artisans du changement, des innovateurs et des perturbateurs qui façonnent le secteur, en partageant leurs réalisations, leurs défis et leurs perspectives. En amplifiant ces histoires, nous visons à favoriser une plus grande reconnaissance du leadership noir et à inspirer un dialogue significatif sur l’équité et l’inclusion dans la coopération internationale. Rejoignez-nous pour reconnaître et honorer ces incroyables leaders tout au long du mois de février !

Cette semaine, nous vous invitons à rencontrer Salamatu Mohammed, Spécialiste principal des subventions à Islamic Relief Canada.

Pourquoi avez-vous décidé de travailler dans la coopération internationale et quels ont été les points forts de votre carrière ? 

Ma décision de travailler dans la coopération internationale est personnelle. Je suis animée par le désir d’aider à inverser la fuite des cerveaux en Afrique subsaharienne, en veillant à ce que moins d’enfants et de jeunes aient à grandir loin de leur lieu d’origine à la recherche de meilleures opportunités. C’est un peu ambitieux, mais c’est alimenté par des expériences personnelles et une profonde valeur de la communauté et des liens. 

Beaucoup des moments forts de ma carrière tournent autour des personnes incroyables avec lesquelles j’ai eu la chance de travailler. Des collègues qui vivent et travaillent dans des zones de crise et qui ont le courage de se présenter chaque jour et de répondre aux besoins de la communauté. À celles et ceux qui luttent pour une plus grande équité au niveau stratégique dans le secteur. Leur dévouement est une source d’inspiration. Plus récemment, j’ai eu la chance d’occuper un poste dans lequel j’aide divers bureaux à rechercher des opportunités de financement. Ce rôle me permet d’utiliser mon privilège et ma compréhension de ce que veulent les donateur-trice-s, mais aussi de mettre en évidence le contexte et les besoins sur le terrain, en aidant à combler les lacunes dans les opportunités de financement. Alors que nous travaillons à la création de mécanismes de financement plus accessibles, il est extrêmement encourageant de participer à des discussions sur la décolonisation du secteur et de prendre des mesures pour obtenir des résultats plus équitables. 

Quelles expériences ont influencé votre carrière en tant que personne noire dans le secteur de la coopération internationale ? 

En tant que femme musulmane noire dans le secteur, mes expériences ont été un mélange de privilèges et de défis. Il y a des moments où je suis consciente d’être la seule personne noire et/ou musulmane dans une pièce. Parfois, cela me donne envie de me fondre dans le décor, tandis que d’autres fois, cela me pousse à m’exprimer davantage. Naviguer dans ces espaces m’a appris l’importance de prendre la parole lorsque j’ai quelque chose à partager et de créer des espaces accueillants. 

Il est également encourageant d’entrer en contact avec d’autres professionnel-le-s noir-e-s du secteur. Voir les difficultés des autres et leur apporter son soutien est revigorant. Je tiens à saluer le travail remarquable du Centre de l’ARC qui crée des espaces permettant aux personnes de couleur de se rencontrer et de discuter de leurs expériences. Ces interactions me donnent plus d’encouragement à agir et de confiance, sachant qu’il existe une communauté de personnes qui s’efforcent de rendre le monde meilleur, plus inclusif et plus équitable. 

Quels sont vos espoirs pour l’avenir et quels conseils donneriez-vous à celles et ceux qui souhaitent travailler dans la coopération internationale ? 

Mon espoir pour l’avenir est un secteur de la coopération internationale plus inclusif. Un secteur où chacun-e, en particulier les détenteur-trice-s de droits, peut participer de manière significative à la prise de décisions qui affectent leur vie. J’apprends et je déconstruis continuellement mes connaissances à travers divers engagements avec différentes personnes du secteur. J’essaie de mettre en pratique ce que je peux faire maintenant et de conserver le reste dans l’espoir de pouvoir l’appliquer un jour. 

Pour celles et ceux qui souhaitent travailler dans ce secteur, sachez que vous vous lancez dans un voyage d’apprentissage. Il est important d’entrer en contact avec les gens, car c’est ainsi que vous découvrez le secteur, que vous découvrez ce qui est possible et que vous voyez où le changement se produit. Cela peut être accablant, mais restez fidèle à votre cap. Unissez vos efforts pour adopter davantage d’initiatives décoloniales et créer une collaboration plus diversifiée. Et surtout, soyez compatissant-e et prenez soin de vous. 

 

 

MHN 2025 – Entretien avec Bernabe Yameogo

MHN 2025 – Entretien avec Zeina Osman

Pour la deuxième année, Coopération Canada célèbre le Mois de l’histoire des Noirs en mettant en lumière les voix et les contributions des leaders noirs de la coopération internationale canadienne. Dans le cadre de cette campagne numérique, nous dressons le profil des artisans du changement, des innovateurs et des perturbateurs qui façonnent le secteur, en partageant leurs réalisations, leurs défis et leurs perspectives. En amplifiant ces histoires, nous visons à favoriser une plus grande reconnaissance du leadership noir et à inspirer un dialogue significatif sur l’équité et l’inclusion dans la coopération internationale. Rejoignez-nous pour reconnaître et honorer ces incroyables leaders tout au long du mois de février !

Cette semaine, nous vous invitons à rencontrer Zeina Osman, directrice, Dons et impact, à International Development and Relief Foundation (IDRF).

Pourquoi avez-vous décidé de travailler dans la coopération internationale et quels ont été les points forts de votre carrière ?

J’ai commencé ma carrière en travaillant dans le domaine de l’action sociale au niveau national, où j’ai vu de mes propres yeux comment les communautés se développent lorsqu’elles ont accès aux bonnes ressources et aux bonnes opportunités. Le passage à la coopération internationale m’est apparu comme une progression naturelle, une occasion de transposer ces mêmes principes à l’échelle mondiale, où les enjeux sont souvent plus importants et les défis plus complexes. Le fait d’avoir grandi dans une communauté diasporique a façonné ma compréhension de l’interconnexion et de la responsabilité, deux éléments qui alimentent mon travail quotidien.

Quelles expériences ont influencé votre carrière en tant que personne noire dans le secteur de la coopération internationale ?

Être une jeune femme africaine dans ce domaine est à la fois un privilège et une responsabilité. Il est impossible d’ignorer à quel point les personnes comme moi sont sous-représentées, en particulier dans les espaces de décision, alors que la plupart des travaux se concentrent sur le Sud. Cela a renforcé ma détermination à diriger avec intégrité et à veiller à ce que les personnes que nous servons se reconnaissent dans les dirigeant-e-s qui façonnent leur avenir. La représentation n’est pas une simple case à cocher, c’est la pierre angulaire de l’instauration de la confiance et de l’obtention de résultats équitables.

Quels sont vos espoirs pour l’avenir et quels conseils donneriez-vous à celles et ceux qui souhaitent travailler dans la coopération internationale ?

J’espère que le secteur sera véritablement axé sur l’expérience vécue et le leadership diversifié, non pas comme une conversation secondaire, mais comme le fondement d’un développement équitable et efficace. Alors que le monde devient de plus en plus instable, la coopération internationale doit évoluer pour refléter les réalités et la résilience des communautés que nous servons.

Honorer l’histoire des personnes noires : Faire progresser l’équité, l’inclusion et la décolonisation dans la coopération internationale

Honorer l’histoire des personnes noires : Faire progresser l’équité, l’inclusion et la décolonisation dans la coopération internationale

Alors que nous célébrons le Mois de l’histoire des personnes noires 2025, Coopération Canada réaffirme son engagement envers la lutte contre le racisme, l’équité, la diversité, l’inclusion, la justice et la décolonisation. Cette année, sous le thème dévoilé par l’honorable Kamal Khera, ministre de la Diversité, de l’Inclusion et des Personnes en situation de handicap – « L’héritage et le leadership des personnes noires : célébrer l’histoire canadienne et inspirer les générations futures », nous réfléchissons aux contributions inestimables des communautés noires du Canada à la coopération internationale. Nous continuons à promouvoir ces valeurs au sein de notre organisation et du secteur au sens large, tout en soutenant les efforts visant à démanteler les systèmes d’oppression et à construire un avenir plus juste et plus équitable.

En ce Mois de l’histoire des personnes noires, nous sommes fier-ère-s de lancer la deuxième édition de notre campagne numérique qui met en lumière les remarquables acteur-trice-s noir-e-s du changement, les innovateur-trice-s et les perturbateur-trice-s qui façonnent le paysage de la coopération internationale au Canada. Grâce à cette campagne, nous souhaitons célébrer l’impact profond des Canadiennes et des Canadiens noir-e-s sur notre secteur et mettre en lumière des histoires qui inspirent des changements significatifs. La campagne culminera avec l’événement Redéfinir le développement mondial : Le leadership des personnes noires dans la coopération internationale, qui servira de plateforme puissante pour honorer et amplifier les voix des leaders noir-e-s qui conduisent le changement dans la coopération mondiale.

Coopération Canada reste fermement convaincu que la lutte contre l’héritage des préjugés raciaux et du colonialisme dans la coopération internationale nécessite une action concrète et soutenue. Nous encourageons notre centaine de membres et l’ensemble du secteur à s’inspirer du Cadre de lutte contre le racisme pour le secteur de la coopération internationale du Canada, qui sert de document d’orientation pour la transformation collective. Nous invitons également tout le monde à explorer notre Stratégie et Plan d’action contre le racisme, l’équité, la diversité, l’inclusion et la justice (AEDIJ) (2023-2026), soulignant notre dévouement au changement systémique et à l’équité dans la coopération internationale.

Tout au long du mois de février, notre équipe réfléchira à la violence historique, aux injustices systémiques et à la résilience des communautés africaines, noires et caribéennes. Nous reconnaissons que ces réflexions doivent aller au-delà du Mois de l’histoire des personnes noires et être intégrées à nos actions quotidiennes et à nos stratégies à long terme. Coopération Canada s’engage à défendre l’équité, à amplifier les voix de ceux qui vivent en marge, à démanteler les structures d’oppression et à faire progresser la décolonisation de la coopération internationale, non seulement pendant le Mois de l’histoire des personnes noires, mais aussi chaque jour de l’année.

MHN 2025 – Entretien avec Isaac Bayor

Mois de l’histoire des personnes noires 2025

Changeurs, innovateurs et perturbateurs noirs qui façonnent la coopération internationale du Canada

Pour une deuxième année consécutive, Coopération Canada célèbre le Mois de l’histoire des personnes noires en mettant en lumière les voix et les contributions des leaders noir-e-s de la coopération internationale canadienne. Dans le cadre de cette campagne numérique, nous dressons le profil des acteur-trice-s de changement, des innovateur-trice-s et des perturbateur-trice-s qui façonnent le secteur, en partageant leurs réalisations, leurs défis et leurs perspectives. En amplifiant ces histoires, nous visons à favoriser une plus grande reconnaissance du leadership noir et à inspirer un dialogue significatif sur l’équité et l’inclusion dans la coopération internationale. Rejoignez-nous pour reconnaître et honorer ces incroyables leaders tout au long du mois de février !

Découvrez les profils ci-dessous !

Redéfinir le développement mondial : Un événement pour le MHN

Rejoignez-nous le 26 février pour une discussion inspirante lors de notre événement Redéfinir le développement mondial : Le leadership noir dans la coopération internationale. Ce panel dynamique mettra en lumière les contributions, les défis et le leadership des professionnel-le-s noir-e-s qui conduisent le changement sur la scène mondiale. Ne manquez pas cette occasion d’entendre des leaders qui brisent les barrières et redéfinissent la coopération internationale.

Créer des espaces plus sûrs : Une ressource pour le MHN

En plus de ces initiatives, nous aimerions mettre en avant la ressource du Centre de l’anti-racisme en coopération (ARC), Création d’espaces plus sûrs pour les dirigeant-e-s et le personnel racisés de la coopération internationale. Cette ressource est un appel à l’action pour les dirigeant-e-s d’organisations, fournissant aux organisations des connaissances importantes, des stratégies concrètes et des outils pour créer des environnements plus sûrs et plus inclusifs pour les dirigeant-e-s et le personnel racialisés, ainsi que pour les partenaires et les parties prenantes.